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De nos jours, Luc Besson fait partie des personnages incontournables du cinéma. D’ailleurs, sa renommée ne touche pas que la France, mais bien le monde entier. Aussi, après avoir produit et réalisé Arthur, malédiction, en 2022, il prépare en ce moment son prochain film, DogMan. Pour l’heure, on ignore encore la date de sortie de ce long métrage. Cependant, on sait déjà que l’intrigue suivra un jeune garçon maltraité, recueilli par des chiens. Espérons que ce drame, très attendu, saura séduire les critiques mais aussi le grand public. Afin de vous aider à patienter jusque-là, Il était une pub vous propose un petit florilège des films mythique, qui ont fait la gloire du réalisateur.
Luc Besson : révélé en 1983, avec Le dernier Combat
Scénario post-apocalyptique et actions en pagaille… Avec ce film d’anticipation sombre, et quasiment dépourvu de dialogues, le réalisateur a obtenu une énorme visibilité. À l’écran, il a réuni Pierre Jolivet, Christiane Kruger, Jean Reno ou encore Mylène Farmer. L’histoire se déroule dans un monde décimé par une catastrophe, où les derniers hommes tentent de survivre malgré des conditions de vie hostiles.
Nominé en 1984, pour le César de la première œuvre, Luc Besson n’obtiendra pas le titre. En revanche, il reçoit tout de même d’autres récompenses, comme :
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- Le prix spécial du jury et prix du public, au Festival international du film fantastique d’Avoriaz, en 1983.
- Le prix spécial de la critique, au Festival international du film fantastique de Bruxelles, en 1983.
- Le prix du meilleur film, au Festival international du film de Catalogne de 1983.
Le Grand Bleu – 1988
Avec ce long métrage, Luc Besson s’éloigne de la science-fiction et flirt de très près avec les faits réels. En effet, le scénario présente de nombreuses similitudes avec le destin de deux célèbres champions d’apnée :
- Jacques Mayol
- Enzo Maiorca
Pour tenir les deux rôles principaux, le réalisateur sollicite à nouveau Jean Reno, mais il mobilise aussi Jean-Marc Barr. Le film raconte la touchante histoire de deux sportifs, à fois complices et adversaires, bien décidés à battre tous les records. Lors de sa sortie, il réussira à attirer plus de 9 millions de spectateurs, rien qu’en France, et fera aussi de très bons chiffres à l’étranger. Pour la bande originale du Grand Bleu, Luc Besson a eu recours, comme souvent, à son ami Eric Serra. Aussi, le thème musical du long métrage obtiendra le César la meilleure musique écrite pour un film, en 1989.
Luc Besson sort Nikita – en 1990
Ce thriller sombre, sur fond de missions d’espionnage raconte la reconversion d’une jeune femme toxicomane, après le braquage d’une pharmacie. Entraînée, puis réquisitionnée par les services de renseignements français, elle obtient sa liberté en devenant tueuse à gage au nom de la raison d’État. Luc Besson signe ici un film violent, mais aussi assez sensible. Dans l’une des scènes, on retrouve Jean Reno, qui joue le rôle de Victor, le nettoyeur. C’est Anne Parillaud qui tient le rôle principal, donnant ainsi la réplique à Jeanne Moreau ou encore Tchéky Karyo.