Kendji Girac : après sa blessure par arme à feu, l’enquête est classée sans suite

En avril dernier, Kendji Girac a failli commettre l'irréparable. Mais l'enquête lancé après le drame vient d'être classée sans suite.

© Getty Images

Au printemps, l’affaire avait secoué la planète people. On apprenait que le chanteur avait terminé avec une blessure par balle au niveau de l’abdomen. Rapidement, l’artiste a admis qu’il avait lui-même appuyé sur la détente. Les faits ont eu lieu alors que Kendji Girac avait consommé de l’alcool et de la cocaïne. Après une dispute avec sa compagne, Soraya Miranda.

Dans les jours qui ont suivi, à l’époque, l’interprète de Color Gitano disait avoir eu ce geste pour retenir sa petite amie, qui souhaitait s’en aller. Des déclarations qui ont choqué le grand public. Et notamment de nombreuses associations féministes. Qui ont rappelé aux fans de Kendji Girac que le chantage au suicide fait parie des violences psychologiques. Des actes inacceptables dans une couple. Par la suite, Soraya Miranda a accordé une longue interview au Parisien pour blanchir son compagnon. À présent, la justice elle-même semble décidée à laisser le chanteur en paix…

Kendji Girac : la tranquillité sous conditions

Après avoir nié les faits, l’artiste a finalement reconnu qu’il avait sciemment décidé de se tirer une balle dans l’abdomen. Ce 24 juin, le procureur de la République de Mont-de-Marsan a de nouveau pris la parole. Avec de bonnes nouvelles pour Kendji Girac. En effet, l’enquête concernant son arme à feu n’ira pas plus loin.

« La procédure relative aux infractions à la législation sur les armes a été classée sans suite. »

Au soir du drame, la vedette avait aussi pris le volant sous l’emprise de drogue et d’alcool. Là encore, l’enquête fera l’objet d’un classement sans suite d’ici à la fin de l’année. Néanmoins, en attendant, Kendji Girac devra se plier à un suivi médical. Pour examiner ses éventuelles consommations. En ce qui concerne les violences psychologiques, l’enquête n’aura pas de suite. La victime présumée ayant démenti cette histoire. Et l’infraction étant « insuffisamment caractérisée ».

Sources : actu.fr

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