Accidents sur la route : cet impact non négligeable du changement d’heure

L'enquête menée par l'Assurance Prévention met en lumière les répercussions du changement d'heure sur la vie des usagers de la route.

Le changement d’heure est sur toutes les lèvres. En effet, ce dimanche 27 octobre sera l’occasion pour certains de dormir 1 heure de plus. Cela dit, celui-ci n’est pas le seul impact sur la société. À la clé, des économies d’énergie largement documentées par l’Ademe. Ceci dit, des accidents sont aussi à prévoir. À l’instar de pannes de réveil pour les plus étourdis. Toutefois, ce n’est pas le plus grave. Effectivement, ses détracteurs invoquent une perturbation des cycles de sommeil. Ou encore, une gêne quant aux métiers de l’agriculture et de l’élevage. Cela dit, Une étude d’Assurance Prévention, l’association de France Assureurs, met en avant une autre crainte. La baisse de la luminosité provoque des accidents entre les usagers de la route. On vous fait le point.

Des accidents de la route en hausse

Selon les informations de TF1, on dénombrerait 42% de morts en plus chez les piétons. À cause du changement d’heure, les jours suivants entre 17h et 19h. Les français, eux, indiquent une crainte accrue lors de cette période de l’année avec 84% des sondés. Toutefois, ce chiffre se décompose en plusieurs catégories :

  • Les vélos (90%),
  • trottinettes (87%),
  • Les deux-roues (86%)
  • Les piétons (82%)

Ces 4 types font partie des plus vulnérables face à la baisse de la luminosité. D’autant plus que parmi l’ensemble des sondés, 61% estiment qu’il est difficile de partager les différents usages de la route. Parmi les comportements à risque, on dénote :

  • 73% des piétons qui n’utilisent pas les trottoirs
  • 72% des piétons aux vêtements foncés
  • 50% des cyclistes n’utilisent pas de dispositifs réfléchissants,
  • 45% des trottinettes et 38% des deux-roues n’allument pas leurs allumages de nuit

Autant dire que les circonstances sont réunies pour un accident en bonne et due forme. Alors même que 34% d’entre eux, ont failli avoir un accrochage à cause du facteur nocturne. Et que 19% en ont bel et bien eu un.

Sources : tf1info.fr

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