Depuis plusieurs années, nos responsables politiques se préparent à accueillir les JO de Paris de 2024. De nombreux chantiers ont été lancés pour bâtir des équipements. Mais aussi pour réaménager des pans entiers de la capitale. La Seine a même été assainie pour que les épreuves de natation puissent y avoir lieu. Amélie Oudéa-Castéra (ministre des Sports) et Anne Hidalgo (Maire de Paris) ont même pu aller piquer une tête dans le fleuve. Mais les Jeux Olympiques ont aussi une composante commerciale.
Ainsi, les adeptes de sports ont la possibilité de s’équiper, avec des objets dérivés officiels, aux couleurs des JO de Paris 2024. Il y a quelques jours, nous avions déjà alerté sur des gourdes pour enfants commercialisées pour marquer cet événement inédit. Ce jeudi, nous revenons vers vous pour vous signaler un rappel, qui touche un autre article officiel des Jeux Olympiques. On fait le point tout de suite !
JO de Paris 2024 : cet objet à éviter…
Dépenses inutiles pour les uns, plaisir incontournable pour les autres… Les produits dérivés permettent de garder un souvenir de certaines destinations ou de certaines périodes. On en trouve ainsi beaucoup lors des compétitions sportives. Et les JO de Paris 2024 ne font pas exception à la règle. Ces articles, vendus en ligne comme en boutiques, ces objets en édition limitée ont même une mascotte : un personnage qui n’est autre qu’un bonnet phrygien rouge. Ce 1ᵉʳ août, le Consortium Ménager Parisien, qui produit des chaises longues pour l’événement, a décidé de lancer l’alerte.
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- Le rappel vise les chaises type chiliennes, en métal noir et tissu, aux couleurs des JO de Paris 2024.
- La procédure concerne les modèles CJO9004, avec le numéro de lot UEO231085
- Ces chaises longues étaient en vente dans de nombreux magasins indépendants. Mais aussi dans de grandes enseignes comme Leroy Merlin, Auchan ou Leclerc. Les consommateurs ont pu les voir en rayons ou via les sites d’e-commerce 8 avril au 1ᵉʳ août 2024.
Si vous avez acheté ce produit dérivé des Jeux Olympiques, vous devez cesser de l’utiliser. En effet, la structure pliante en métal qui maintient la chaise peut faire défaut, en se déformant. Ce qui peut occasionner des blessures externes chez les consommateurs. Le mieux reste de ramener l’article en point de vente pour exiger un remboursement.