Hugo Clément s’insurge contre la chasse : « En te regardant, j’ai honte »

Sur Instagram Hugo Clément a posté une série de clichés bouleversants sur les conditions de la chasse aux cétacés.

Hugo Clément a fait ses premières armes en tant que journaliste sur France 2. Diplômé de Sciences Po Lille, il se trouve en charge des informations télévisées. Dès 2015, ce dernier change de cap en intégrant l’équipe de Quotidien sur TMC. Son thème de prédilection ? L’actualité internationale. Aussi, on lui doit le média Konbini News dès 2017. Cette source d’informations, destinée aux jeunes, attire par son format court et son image colorée. Cela dit, Hugo Clément n’a jamais délaissé son cheval de bataille. À savoir, la protection de l’environnement. En 2019, il présente Sur le front un documentaire en ce sens. De plus, cette même année, il sort son livre Comment j’ai arrêté de manger les animaux. Ce 5 juillet sur Instagram, le journaliste a mis en lumière une barbarie méconnue du public sur les Iles Féroé.

Hugo Clément : Une figure engagée pour la protection environnementale

Pour la mise en contexte, le cliché a été pris dans le cadre de la lutte contre le Grindadráp. Une tradition plusieurs fois centenaire sur les Iles Féroé. Cette dernière consiste en la chasse de cétacés. Malgré les différentes mesures de protections internationales. Ses pratiquants se targuent une tradition ancestrale, alors que celle-ci s’ancrait dans un besoin vital à l’époque. De son côté, le journaliste utilise sa notoriété pour lutter contre cette mise à mort gratuite. Dans ce post, Hugo Clément a rédigé un long texte mettant en lumière une barbarie d’un autre temps. Tout en utilisant ce fait, pour mettre l’accent sur les problèmes qui régissent nos sociétés :

« En te regardant, j’ai honte d’appartenir à la même espèce que ceux qui t’ont tué, et je me souviens d’un massacre similaire auquel j’avais assisté il y a quelques années. […] Certains diront qu’il y a plus important, que la vie d’un dauphin globicéphale n’est pas la priorité en ce moment. Eh bien je pense l’inverse. À mon sens, cette manière de nous comporter avec les autres formes de vie dit beaucoup de ce que nous sommes, et explique en partie la situation dans laquelle nous nous trouvons. »

Une prise de parole qu’on ne peut que féliciter. Aujourd’hui Hugo Clément via cette série de clichés peu ragoutants insiste sur un point. Étant nous-mêmes incapables de respecter nos semblables, il semble compliqué de respecter la nature. Avec toutes les dérives que cela comporte, comme la pollution ou la déforestation.

 

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Sources : francetvpro.fr

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