S’il y a bien un sujet qui passionne et qui permet de briser la glace, il s’agit bien de la météo. Fera-t-il soleil ? La pluie va-t-elle s’inviter au programme ? Le drame de festivals et autres apéros en plein air… Quoi qu’il en soit, cette fin du mois de mai sent bon le printemps. Et le mois de juin à venir devrait continuer sur cette tendance, jusqu’à atteindre le fameux été attendu de tous les futurs vacanciers. Voyons d’abord ce que le mois de juin nous réserve selon les indications de Météo France.
Juin 2025 : chaleur persistante, peu de pluie en vue
La dernière semaine de mai s’achève dans une ambiance plutôt… Printanière ! Bien que l’on puisse constater un dégradé nord-sud. En effet, le nord du pays connaît des passages nuageux et des températures à peine aux normales de saison. Malgré tout, les pluies restent rares et faibles… Si cette situation ravit les amateurs de balade, elle se fait qu’enfoncer le clou d’une sécheresse déjà marquée. Par ailleurs, cela se dénote particulièrement vrai dans les Hauts-de-France, où le manque d’eau atteint un niveau inédit depuis 65 ans. Un constat qui fait craindre le pire pour l’été qui arrive.
Pour la deuxième semaine, la tendance bascule. Effectivement, dès la semaine du 2 au 8 juin, le début de l’été météorologique devrait s’annoncer. En conséquence, une remontée d’air chaud venu d’Espagne favorise une nette hausse des températures. Cette bouffée estivale pourrait être ponctuée de quelques orages dans le sud-ouest du territoire. Ceci dit, le flux de sud-ouest semble s’installer durablement. Apportant dans la foulée, de belles journées estivales même sur la moitié nord.
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La dynamique estivale s’accentue encore pour la semaine du 9 au 15 juin. Parmi les prévisions, un temps anticyclonique chaud et ensoleillé devrait s’imposer à l’ensemble du territoire. Peut-être entrecoupé de quelques ondées orageuses qui pourraient survenir sur le nord-ouest. Néanmoins, l’ambiance restera largement estivale.
Enfin, pour la période du 16 au 22 juin, la fiabilité baisse, mais les grandes lignes se confirment : chaleur persistante et faible pluviométrie. Juin pourrait donc s’imposer comme le troisième mois consécutif sous influence sèche et chaude. Dans un contexte climatique de plus en plus tendu.