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Le travail en tant que caissier/caissière dans un supermarché n’est pas une tâche facile. Outre des conditions de travail difficiles à vivre, des horaires souples, la nécessité de travailler les week-ends et des avantages sociaux peu avantageux, il est nécessaire de gérer une série de relations sociales. C’est surtout le cas avec le responsable d’équipe. Ce dernier sous pression, il transfère son stress sur les hôtes de caisse.
Il en est de même pour les clients. En général, la plupart d’entre eux sont silencieux et ne parlent aux caissiers que lorsqu’ils payent leurs courses. Cependant, certaines situations amusantes et comiques peuvent parfois survenir avec eux. Une caissière raconte justement ces situations qu’elle rencontre régulièrement : « Je suis caissière et voici les phrases des clients qui m’insupportent le plus« .
Les phrases les plus insupportables pour les caissières
Les relations entre les clients des supermarchés et les caissiers restent marquées par une certaine ambiguïté. La profession de caissier s’associe généralement à une image négative. Il s’agit d’une profession peu qualifiée, souvent occupée par des travailleurs à temps partiel, considérée comme monotone. Cependant, en même temps, les caissiers sont très exposés aux contacts avec les clients du magasin. Cela nécessite donc des compétences sociales et émotionnelles solides pour gérer les interactions avec eux.
Cela peut expliquer pourquoi certains clients peuvent être difficiles à gérer. Malgré ses efforts, cette caissière a fini par ne plus tolérer certaines phrases qu’elle entend lors du passage en caisse. Telles que « Je n’ai pas vu le prix, cela doit être gratuit » ou « Bonjour, sur les deux produits, il y en a un gratuit, puis-je prendre seulement celui qui est gratuit ? » Les clients peuvent parfois essayer de négocier les prix, mais malheureusement pour eux, ce n’est pas la caissière qui les fixe.
De propos inappropriés
L’image négative associée à la profession de caissier peut parfois entraîner des commentaires blessants de la part de clients impolis. Par exemple, « Tu vois ma puce, si tu ne veux pas finir caissière, et demander l’autorisation pour aller faire pipi, tu as intérêt de travailler à l’école. » C’est un exemple typique de déclarations déplacées d’un client. Et le pire, dans cette histoire, c’est que la caissière ne peut pas s’énerver à ce moment-là.
D’autres clients ont tendance à se plaindre auprès des caissiers. Par exemple, « C’est une honte ! C’est du vol ! Les prix sont beaucoup trop élevés ! » ou « Pourquoi changez-vous toutes les rayons de place ? Est-ce un jeu ? » et « Je ne comprends pas pourquoi vous êtes en train de remplir les étagères maintenant ! Vous gênez avec vos transpalettes ! Pourquoi ne travaillez-vous pas avant ou après l’ouverture ? » Cependant, encore une fois, les caissiers n’y sont pour rien. Mais ce sont des situations qui arrivent au quotidien.
Des clients sans aucune gêne
En commerce, le client a pour étiquette celle d’un roi, mais certains d’entre eux abusent de cette attitude en pensant pouvoir tout se permettre. Par exemple, certaines remarques peuvent être blessantes comme « Ah, c’est l’heure de la prière !« , comme si le magasin était équipé pour la prière, ou « Vous ne payez pas pour vos courses, vous travaillez ici !« , montrant l’ignorance du client en ce qui concerne les conditions de travail des caissiers.
Source : Marie France