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« À nos actes manqués », « Là-bas », « Quand la musique est bonne », que des tubes signés Jean-Jacques Goldman. En plus d’être un chanteur émérite, Jean-Jacques Goldman est également un excellent parolier qui n’hésite pas à prêter sa plume pour d’autres. Né le 11 octobre 1951, il est incontestablement l’un des plus grands chanteurs français de tous les temps. Talentueux, l’homme, issu d’une famille de 4 enfants, était fortement adulé dans les années 80 et 90. Cependant, depuis maintenant un sacré bout de temps, l’ancien leader des Enfoirés se fait extrêmement rare sur la scène musicale et dans les médias. Une situation qui peine certainement ses nombreux admirateurs. Fort heureusement, pour avoir des nouvelles de leur idole, ils peuvent toujours compter sur quelques-uns de ses amis proches, dont Michael Jones.
Jean-Jacques Goldman et Michael Jones : une amitié qui dure !
En octobre 1985, Jean-Jacques Goldman et Michael Jones ont enflammé les charts avec leur tube « Je te donne ». En France, pendant 8 semaines consécutives, le titre est resté numéro 1 du Top 50.
L’année de sa sortie, la chanson s’est notamment vendue à plus d’1 million d’exemplaires. Devenue un hymne intergénérationnel, elle sera reprise plus tard par le groupe « Worlds apart » et la Génération Goldman.
Concernant les deux chanteurs, il faut savoir qu’ils se connaissaient bien avant d’enregistrer ce morceau qui allait faire du Franco-Gallois une célébrité dans le pays.
« Grâce à cette chanson, j’ai pu faire cette carrière incroyable dont je ne me serais jamais douté ! », a-t-il une fois déclaré dans une interview.
Pour revenir à leur rencontre, elle a eu lieu dans les années 70, plus précisément en 1978. À ce moment-là, Michael Jones devait notamment remplacer la personnalité préférée des Français au sein du groupe Taï Phong. Et entre les deux, ce fut le coup de foudre musical et amical.
« On se voit quand on le peut (…) Il va bien »
Devenus des amis sur scène et dans la vraie vie, ils formeront par la suite un trio avec la regrettée Carole Fredericks.
Ayant tous les deux le même âge, la grande amitié entre Jean-Jacques Goldman et Michael Jones dure depuis maintenant près de 45 ans. Et ce, malgré que l’interprète de la chanson « Envole-moi » a décidé de s’éloigner de la sphère médiatique.
Pour rappel, c’est en 2001 que Jean-Jacques Goldman a sorti son dernier album, intitulé « Chansons pour les pieds ». L’une de ses dernières apparitions sur scène remonte notamment en 2004, lors des Francofolies de la Rochelle.
Une situation qui peine sans doute énormément ses fans. Néanmoins, grâce à ses amis, ils peuvent avoir des nouvelles de leur idole. C’est notamment le cas de Michael Jones qui, récemment, a accordé une interview au magazine Public.
« On se voit quand on le peut », a-t-il confié dans le fameux entretien paru le 28 avril 2023.
Aussi, le chanteur de 71 ans a raconté que cette année, avec son complice de toujours, ils se sont rencontrés à Paris et Lyon.
« Il va bien », a conclu celui-qui fera partie des jurées de la nouvelle émission de TF1 « Dream-Team » la relève des stars.
Jean-Jacques Goldman, de retour sur scène ?
Ainsi, Jean-Jacques Goldman et Michael Jones sont toujours restés très proches malgré les années qui passent. Preuve de leur grande amitié, l’interprète de « Là-bas » avait donné le feu vert pour que Michael Jones chante ses chansons sur scène. En effet, le natif Welshpool au Pays de Galles sillonne en ce moment les salles avec son spectacle intitulé « L’Héritage Goldman ».
Aux micros de RTL, il a notamment confié :
« Ce qui est génial, c’est de faire vivre des chansons différemment. »
Alors, aurons-nous l’occasion de voir les deux hommes sur scène dans le cadre de ce spectacle ? Pour Michael, la réponse est définitivement non. Bien qu’il aimerait que cela se fasse, le musicien affirme avoir arrêté de convaincre son ami de performer devant son public.
« Ça fait longtemps que j’ai laissé tomber », a-t-il fait savoir.
Et d’ajouter :
« Il a décidé de prendre sa retraite et on le respecte. Jean-Jacques et moi avons plus de 70 ans. Le côté scène, il l’a fait, car il fallait le faire et il a pris du plaisir à le faire par la suite, mais ce n’était pas sa motivation première. Moi, c’était mon bac à sable. »
Des propos qui ont sûrement déçu plus d’un !
