Steak haché : 60 millions de consommateurs révèle les meilleures références du marché

Parmi la myriade de steaks hachés disponibles sur nos étales, l'association 60 millions de consommateurs vient nous apporter un coup de projecteur sur la réalité de cette viande du quotidien.

L’appellation steak haché est fortement réglementée. Pour y prétendre, il faut y avoir 99 % à 100 % de viande de bœuf. Ainsi, les préparations contenant d’autres ingrédients auront d’autres noms. À l’instar des Happy Family chez Charal. En outre, ceux-ci doivent avoir au moins 15 % de collagène et 1 % de sel au maximum. Toutefois, en ce qui concerne les matières grasses, celles-ci peuvent se trouver entre 5 et 20 % de la composition totale.

Bien sûr, dans le cas de la viande comme d’autres produits, l’ajout d’additifs joue sur les qualités nutritionnelles. Voire se révéler dangereuse. La polyvalence de cette viande la place parmi ces ingrédients du quotidien. Que ce soit avec des frites, ou des légumes, les steaks hachés s’accordent facilement avec tout dans des plats simples. Ceci dit, attention à leur qualité souvent variable. De ce fait, l’association 60 millions de consommateurs s’est penché sur la question. On vous livre leurs conclusions.

Steak haché : quelle référence choisir ?

Comme à leur habitude, 60 millions de consommateurs a décidé de se lancer dans une série de comparatifs. L’objectif affiché ? trouver la meilleure référence de steak haché. Bien entendu, en guise de balisage, l’association s’est concentrée sur les steaks hachés 100 % pur bœuf. Au travers des 29 références testées pour l’occasion, le constat est sans appel. Les viandes bios et fraîches contiendraient de hauts taux de collagènes et pas assez de protéines. En comparaison à d’autres marques. Aussi, on retrouve ces 4 marques en tête du classement :

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  • Ensemble (Biocoop)
  • Les steaks hachés halal Al Jayid (Intermarché)
  • L’étal du boucher (Lidl)
  • Les Steaks hachés façon bouchère (Auchan)

En revanche, il faut savoir que la consommation de viande reste un vecteur important de pollution. De fait, une enquête menée par Action Climat et la Société française de nutrition estime que :

« 60% de ces émissions [NDLR : de carbone] proviennent de la production, au niveau agricole, des aliments que nous consommons », précise l’étude qui rappelle également qu’il est « possible de réduire de 50% la consommation de viande tout en satisfaisant l’adéquation nutritionnelle et sans avoir recours à des produits enrichis ou à des supplémentations »

Vous voilà averti.

Sources : femmeactuelle.fr

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