En 2004, les téléspectateurs ne connaissaient pas encore ce comédien. En effet, Laurent Kérusoré a su devenir un visage familier du grand public, grâce à Plus belle la vie. Durant 18 ans, il a prêté ses traits au personnage de Thomas Marci, un véritable pilier de la série. Aussi, en apprenant l’arrêt du feuilleton sur France 3, à l’automne dernier, l’acteur avait eu du mal à accepter la nouvelle. Or, depuis que TF1 a donné un second souffle à la célèbre fiction, et qu’il a repris les tournages, il a retrouvé le sourire. On vous explique tout !
Laurent Kérusoré incarne de nouveau Thomas Marci
Dans Plus belle la vie, ce personnage faisait partie des plus incontournables. En effet, il s’agit du fils biologique de Roland Marci. Au fil des saisons, Laurent Kérusoré a su garder sa place au sein du casting de la série. Aussi, lorsque TF1 a annoncé le retour du feuilleton, il a bien sûr accepté de reprendre du service. Et pour cause : l’année dernière, le comédien avait ressenti quelques inquiétudes avec l’arrêt de la série sur France 3.
« Je pense que ça va être compliqué, mais je m’y attends… Cet arrêt est douloureux, car en 18 ans, ma vie s’est construite autour de la série. », a déclaré l’interprète de Thomas Marci dans Gala, l’année dernière.
Malgré la disparition tragique de Michel Cordes, qui jouait son père à l’écran, le comédien vit ce retour dans Plus belle la vie avec le sourire. Entre la ville d’Allauch et les studios de la Belle de mai (situés dans le 3ᵉ arrondissement de Marseille), Laurent Kérusoré donne à nouveau la réplique à ses camarades. Pour marquer le coup, il a décidé de partager sa joie en story sur Instagram. Tout sourire face à la caméra, on peut l’entendre dire, dans un soupir de soulagement :
« Qu-est-ce qu’on est bien quand on travaille… »
Après l’effort, le réconfort ! Aussi, avant de rentrer chez lui, pour se reposer, l’acteur a décidé d’aller prendre l’air au Vieux Port. L’occasion pour lui de partager avec les internautes, le paysage enchanteur des bateaux et des monuments de la cité phocéenne, à la nuit tombée. Pour accompagner ces images, il a opté pour un tube typiquement marseillais : Je danse le MIA, du groupe I.A.M.